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 All that is gold does not glitter

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William A. Knighton
William A. Knighton
Date d'inscription : 28/03/2012
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MessageSujet: All that is gold does not glitter   All that is gold does not glitter Icon_minitimeJeu 29 Mar - 20:55


William Alexander
Knighton


Qui es-tu?

Je m’appelle William Alexander Knighton, il m’arrive que l’on me surnomme Will, même si je préfère William depuis que j'ai dépassé le stade d'ado prépubère . Voilà 30 années que j’ai vu le jour à Glastonbury. Sur cette terre, je ne suis qu’une fourmi qui tente désespérément de se faire une place. Aujourd’hui, ma vie ressemble à celle de tous les individus de cette plante, je travaille en tant que journaliste pour une chaîne de télé locale , mais ma vie ne s’arrête pas là. Comme vous tous, une partie de ma vie est un mystère et je ne vous dirais certainement pas la véritable raison pourquoi je fais parti du groupe Conspiracy . Afin de ne pas être reconnu j’ai pris l’apparence de Ian Somerhalder. Nos routes risquent de rapidement se croiser… à bientôt.


☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆


Questionnaire


• Que représente le Graal pour vous ?
Voilà bien une bonne question. Pour certains, le Graal est un "instrument" qui permettrait de dominer un peu toute vie, vous savez, comme les boîtes d'Orden dans "Legend of the Seeker". D'ailleurs, cela est un assez bon exemple, puisqu'il s'agit la aussi de pouvoir tyrannique... Qui sait, peut être que le scénariste était un pro-Equestria ? Qui sait ^^. Comme déjà suggéré auparavant, certains considère le Graal comme un objet dangereux, et qu'il faut à tout prix éviter qu'il ne tombe entre les mauvaises mains. De quelq côté je me situe ? *rire amusé, voir même moqueur* Si j'aurais voulu vous le dire, je l'aurais déjà fait. Mais puisque vous demandez si gentillement, mais cela restera entre nous. *clin d'oeil* Disons que jme range plutôt du point de vue des Equestria, bizarre non ? Mais officiellement, c'est une toute autre histoire, mais je ne vais pas vous ennuyer avec les détails. Alors vous avez qu'à vous tenir à l'apparence, selon laquelle je fais parti coeur et âme des Conspiracy, non ?

• On vous considère comme extrémiste, qu’en pensez vous ?
*rire amusé* Vous croyez vraiment qu'un extrêmiste se définierait comme tel ? Que c'est mignon ! Et bien, figurez vous que non, je ne me considère pas comme un extrêmiste. Pourquoi ? Et bien tout simplement, comme la plupart des gens conscients de cette affaire, je crois tout simplement que je fais cela pour une bonne raison, et la raison justifierait donc les moyens. D'accord, ce n'est peut être pas au goût de tout le monde, mais ne nous voilons pas les yeux, c'est ce que tout le monde fait, même si la plupart préfèrent prendre un air choqué lorsqu'on leur dit ça.

• Comment vous définiriez-vous ?
Oula, vous voulez une psychanalyse ? J'espère que vous n'avez rien de prévu, parce que ça risque de prendre du temps. Comment je suis ? Charmant, beau goss, intelligent, irresistible... D'accord, vous pouvez aussi dire que je suis un poil crâneur *rire*. Vraiment, j'aurais assez de mal à répondre à cette question. Je dirais que je suis quelqu'un de droit, sincère, mais à force de jouer un double jeu, j'ai tendance à me perdre un peu moi-même. Est-ce que je suis celui que j'ai été à une époque ? Ou l'homme sans scrupules que je prétends être ? Voir même des deux ? Je ne sais pas vraiment, il n'y a pas de limites définies. Alors oui, d'un certain côté, je deviens de plus en plus sans scrupules. Au début, j'avais beaucoup de mal à supporter la vie en tant que membre de la Conspiracy, je prenais même des calmants pour éviter que tout le monde voyait à quel point j'étais stressé. Mais au fur et à mesure, c'est devenu bien plus simple, peut être même trop simple... Je n'aime peut être pas forcement ce que je fais, mais je le fais sans hésiter maintenant.
Mais en dehors de ça, j'aime croire que je suis quelqu'un de drôle, intelligent, sociable du moins en apparence. Car oui, je n'ai aucun mal à parler à un inconnu ou à accoster une jolie inconnue dans le bar. Mais à vrai dire, j'ai tendance à éviter les relations trop sérieuse. Pourquoi ? Et bien, je pourrais être mort demain, donc à quoi bon s'attacher si on n'a pas le temps d'en profiter ? Et puis, les personnes proches de moi pourraient également être un moyen de pression contre moi, donc c'est à éviter. E oui, j'oubliais il y a aussi le risque que ma couverture tombe parce que je fais trop confiance à quelqu'un... Donc c'est hors de question.



☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆


Raconte nous tout (résumé)

le père de William était membre de l'Ordre mais fut tué lors d'une de ses missions. La mère de William est alors partie vivre aux USA pour que personne n'apprenne sa grossesse. De cette manière, elle pensait protéger son fils et éviter que celui-ci ne suive un jour la voie de son père, voie qui pouvait uniquement mener à la mort aux yeux de la jeune femme.
William a grandit dans le quartier défavorisé d'une petite ville en Caroline du Sud. Sa mère a été tuée par accident lors de la fusillade entre deux gangs quand il n'avait que 15 ans.
il a finit par rejoindre New York, où après avoir eu plusieurs petits boulots, il finit par trouver un travail de barman.
il a été amoureux une fois, mais en garde un assez mauvais souvenir puisque cette relation s'était mal terminé
il a été recruté par Elijah, apparemment la seule personne ayant reconnu sa parenté avec John Carpenter
depuis plus de 5 ans, il sert l'Ordre en étant leur espion dans le camps ennemi. Mais seul Elijah en est au courant, pour les autre, il est juste un "ennemie" comme les autres, ou du moins, pour ceux qui sont au courant de son appartenance à l'Organisation
il commence de plus en plus à se fondre dans son rôle, de devenir l'homme sans coeur qu'il prétend être


☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆


Derrière le personnage




Allô l'antenne ? Ici Indi, une de vos créatrices. J'ai 23 ans et toutes mes dents. Étant donné que j'ai de fortes tendances geek, vous risquez de me voir souvent sur le forum. J'aime RP, et j'évite le plus souvent de laisser traîner les réponses (même si ça m'arrive, car même moi, j'ai une vie en dehors d'internet par moment ^^). Sinon j#ai choisi d'interprêter Ian tout simplement parce que ça faisait un moment que j'avais envie de le jouer Very Happy


Dernière édition par William A. Knighton le Mar 10 Avr - 21:42, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: All that is gold does not glitter   All that is gold does not glitter Icon_minitimeSam 7 Avr - 11:55


William Alexander
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Raconte nous tout


Chapter one : Once there was a boy, who fell in love with a girl...
Un jeune homme rencontre une jeune femme, et ils tombent amoureux… Voilà une histoire qui peut paraître assez banale, et pourtant, c’est bien ce genre d’histoires qui nous plaisent, nous font rêver.
Il y a bien des années, John Carpenter rencontra Janet Osgray, c’était dans les années 70… Inutile de raconteur toutes les péripéties, mais à force de se croiser dans la petite ville de Glastonbury, ils finirent par tomber amoureux. Jusque là, rien de bien special, si ce n’était le fait que John faisait parti de l’Ordre secret des chevaliers, Ordre dont la jeune femme ne se doutait meme pas qu’une telle chose puisse exister jusqu’à ce que John ne lui fasse part de son secret. Bien sûr, c’était risqué d’agir de la sorte, mais il ne voulait pas continuer de mentir à son épouse. Au début, celle-ci était plutôt choquée, mais elle finit tout de meme par croire à son mari, et à le soutenir du mieux qu’elle le pouvait dans sa cause, meme si à chaque fois qu’il passait la porte de leur petite maison, elle était morte d’inquiétude. Et ses craintes se révelèrent être fondées, puisqu’a près à peine 2ans de marriage, on frappe à sa porte pour lui dire que son mari était mort… Désespérée, la jeune femme prit ses affaires et décida de partir loin de cet endroit, loin de cette folie qui régnait ici. D’autant plus qu’elle venait tout juste de remarquer qu’elle était enceinte. John lui avait expliqué ce qui arrivait aux enfants des membres de l’Ordre, qu’ils étaient éduqués de façon à ce qu’un jour, il prennent la suite de leurs parents. Mais Jane était bien incapable d’accepter le fait que son enfant prenne part un jour à cette folie, encore plus après ce qui venait d’arriver à John…
Personne de l’Ordre ne connut jamais l’existence de cet enfant qui aurait du être l’un des leurs, et la jeune femme fit tout son possible pour que cela reste ainsi. Arrivée aux Etats Unis, pays où tout était possible, elle prit une nouvelle identité afin d’éviter d’être retrouvée au cas où quelqu’un n’aurait l’idée de la chercher. Désormais, elle était Jane Knighton… Et quelques mois après son arrivée dans ce nouveau pays, elle donna naissance à un magnifique fils qu’elle décida de nommer William Alexander, en hommage à ses deux grands pères.


Chapter two : childhood
William grandit donc dans une petite ville en Caroline du Sud, dans un milieu assez défavorisé. Sa mere faisait de son mieux pour l’élever, travaillant à plein temps, mais cela semblait à peine suffir pour finir les mois. Et pourtant, William est loin de garder un mauvais souvenir de cette période, bien au contraire. La chose dont il se souvenait le mieux, c’était certainement la douceur de sa mere, ou encore la passion avec laquelle elle lui racontait des histoires, laissant paraitre les histoires les plus loufoques réelles aux yeux du petit garcon. Mais jamais elle n’évoqua son défunt mari, et encore moins les chevaliers, peut importait à quell point William lui posa des questions sur son père. Si bien que le petit garcon finit par arrêter de poser des questions, se contentant de la seule réponse qu’il avait : il est mort.
Enfant éveillé, William se montrait rapidement comme étant un excellent élève, ramenant des bonnes notes à la maison dans le seul but de faire plaisir à sa mere. Car même si elle le disait jamais ouvertement, il avait très bien comprit qu’elle souffrait, et il ne voulait pas agrandir sa peine, au contraire, il voulait qu’elle puisse être fière de lui.
Pendant 15 ans, William grandit donc élevé uniquement par sa mère, puisque celle-ci refusait tout simplement de se remarier.
Ce fut lorsque William avait 15ans que tout changea radicalement. Comme bien souvent, il attendait que sa mere ne rentre le soir, mais ce jour là, ce fut different… Normalement, sa mere n’était jamais en retard, mais là… William jeta des regards inquiets à l’horloge. Plusieurs heures avaient écoulées jusqu’au moment où il se décidait de partir à sa recherché. En ouvrant la porte, il tomba nez-à-nez avec deux policiers qui venaient lui apprendre la mort de sa mere, prise dans une fusillade entre deux gangs. Elle s’était tout simplement trouvée au mauvais endroit au mauvais moment…
La logique aurait voulu que William soit confié au système pour être place dans une famille d’accueil jusqu’à sa majorité, mais c’était bien quelque chose qu’il avait été incapable d’accepter. Alors quand les policiers étaient parti en lui disant que le lendemain, on allait venir le chercher pour qu’il soit amené dans une famille d’accueil, il n’hésita pas longtemps avant de faire sa valise. Encore trop sous le choc de la nouvelle, il était bien incapable d’en pleurer, même s’il savait que tout cela était reel. La nuit meme, il ferma pour la dernière fois la porte du petit appartement dans lequel il avait grandi avant de partir. Où il allait ? Il n’en avait pas la moindre idée, il voulait juste partir de cet endroit.

Chapter three : New York I love you
Pendant plusieurs mois, William vagabondait, sans réellement avoir un but précis où aller. Il allait de ville en ville, et d’ailleurs, si vous l’interrogez sur cette période, il ne vous dira rien. Pourquoi ? Tout simplement parce ques ans argent, et étant bien trop jeune pour avoir un veritable travail, il ne restait pas 10 000 solutions pour avoir de quoi survivre…
Il finit par arriver à New York, ville dont il parraissait que tout y était possible… Rien de bien passionnant jusque là, il se contentait d’enchaîner les petits boulots, jusqu’à ce qu’il ne trouve un travail en tant que barman. Bien sûr, il n’était pas encore majeur, mais ce n’était pas vraiment facile de deviner en le voyant, et étant donné que personne ne lui avait jamais demandé de pièce d’identité, il avait été bien facile pour le jeune homme de mentir sur son âge.
C’est d’ailleurs dans ce bar de seconde zone qu’il rencontra pour la première fois Elijah. A l’époque, William était bien sûr loin de se douter de l’importance qu’allait prendre cet home dans sa vie… Il se souvient encore très bien d’avoir senti le regard de cet home étrange sur lui, comme si celui-ci tentait de lire en lui. Et pourtant, rien ne se passa… L’homme finit par devenir un client régulier du bar. Assis dans un coin, il se contentait d’observer. Et ce n’était qu’au bout de quelques mois qu’ils commencèrent à vraiment parler. Ce n’étaient que des banalities échangées entre un barman et son client, et pourtant, William avait la forte impression que cet home tentait de le sonder, ce qu’évidemment était loin de plaire au jeune ténébreux. Et pourtant, il commença à apprécier les discussions avec cet home exentrique, tout simplement parce qu’il trouvait la vision des choses d’Elijah aussi étrange qu’interessante, si bien qu’au cours du temps, une certaine complicité finit par s’installer entre les deux hommes. Sans que William ne se rendait compte, Elijah lui faisait subir des épreuves pour s'assurer qu'il ne s'était pas trompé sur le caractère du jeune homme. Car il était bien le seul à reconnaitre en William le fils de celui qu'il avait à une époque considéré comme un frère...

Chapter four : first love never lasts
C’était une belle journée d’été, et William marchait dans la rue, profitant calmement de son temps libre, lunettes soleil posées sur le nez, écouteurs dans les oreilles quand une jeune femme le bouscula. Enfin, jeune femme… Garçon manqué était sans doute mieux adapté pour la decrire. Et bien que ce soit elle qui l’avait bousculé, la petite rouquine ne s’était pas gênée pour s’énerver contre lui, tandis qu'il la regardait sans aucune expression sur son visage, si ce n'était une pointe d'amusement. Quelque chose dans le caractère très prononcé de la jeune femme semblait attirer William, même s’il n’était lui-même pas entièrement capable de definir ce dont il s’agissait. Et la jeune femme était bien la seule qu’il avait du mal à séduire, ce qui au lieu de le faire abandonner ne faisait que l’encourager d'avantage. Mais cette fois, il voulait que cela soit différent de ses autres relations. Pourquoi ? Il ne saurait le dire, cela n'avait pas vraiment été une décision qu'il avait pris consciemment. A l'époque, il était encore bien loin de se douter qu'il venait de tomber amoureux pour la première fois dans sa vie, il s'était tout simplement laissé guidé par ses sentiments, sans réellement se poser des questions. Tout cela peut paraitre bien cliché, et pourtant, ce fut le début d’une belle relation d’amour. Pendant un an, leur relation semblait être idyllique. Certes, ils avaient des caractères très opposés, et leur disputes – car oui, tout n’était pas toujours rose entre eux - étaient sans doute mémorables. Sauf que la jeune femme partit du jour au lendemain, sans dire un mot à William. Pour lui, le premier reflexe était bien sûr de partir à sa recherche, la situation lui rappelant bien trop la mort de sa mère quelques années plus tôt pour qu'il reste inactif. Ce n’était qu’une semaine plus tard qu’il apprit par un ami commun qu’elle était retournée en Angleterre avec son père… Il aurait sans doute pu tenter de la contacter, mais il ne l'a jamais fait, jugeant qu'elle avait décidé de finir leur relation. Et il était bien trop fier pour lui courir après une fois de plus, pas après qu'elle lui avait clairement fait comprendre qu'elle ne voulait plus de lui. Mais cela l'a blessé bien plus qu'il ne le laisse paraitre, et d'ailleurs, il n'évoquait plus jamais la jeune femme par la suite, tirant un trait définitif sur leur relation.

Chapter five : a strange proposition
"Des chevaliers ? Très drôle, on est le premier avril ou quoi ?" Le jeune homme éclatait de rire, un rire moqueur qui disait long sur ce qu'il pensait de cette histoire. Pendant plusieurs années, Elijah avait testé William en lui faisant subir toute sortes d'épreuves, mais il l'avait également formé, en lui racontant tout ce qu'il devait savoir, la plus part du temps caché dans des histoires qui pouvaient parraitre bien innocentes. Après tout, à l'époque, il n'avait pas encore été sûr s'il faisait le bon choix, mais maintenant, il l'était. C'était pour cela qu'il avait décidé de tout raconter à William, ou du moins tout ce qu'il devait savoir pour remplir la mission qu'il pensait lui donner. Elijah savait très bien qu'il était arrivé à un moment décissif, où tout allait basculer. D'un côté ou de l'autre, il ne pouvait pas le prévoir. Ce fut pour cela qu'il prit tout son temps. Laissant le jeune homme se calmer de sa crise de rire, il regardait par la fenêtre, d'un air pensif. Est-ce qu'il avait vraiment pris le bon choix ? En tant que chevalier, il s'était voué à une cause, protéger les gens, alors qu'il s'apprêtait à sacrifier un jeune homme pour sa cause, car si cela tournait mal, il y avait de fortes chances qu'il allait mourrir une mort attroce. Mais Elijah savait également que parfois, il fallait risquer beaucoup pour espérer d'en tirer quelque chose, et c'était ce qu'il était entrain de faire, ou du moins, d'essayer. Lorsqu'il pouvait de nouveau être sûr que le jeune homme l'écoutait à nouveau, Elijah lui expliqua calmement ce qu'était la cause des chevaliers, s'arrêtant de temps à autre pour laisser le temps à William de réfléchir. Il avait très bien comprit que le jeune homme n'était pas si insensible que cela à leur cause, cela coulait dans ses veines. Car Elijah avait bienn été la seule personne de reconnaitre William en tant que fils de John Carpenter. Les ressemblences étaient faibles, et pourtant, il y avait quelque chose dans la manière d'agir de jeune homme qui lui rappelait son cousin défunt...
"Qu'est-ce que tu attends de moi ?" La voix du jeune homme sortit Elijah de ses pensées. Il plongea son regard dans celui de son neveu, hésitant un moment s'il devait lui dire leur lien de parenté, mais finalement, il préférait éviter cela. Le moins de personnes qui étaient au courant, le mieux ce serait pour William. En quelques mots, il lui expliqua la mission que William allait devoir remplir, car à présent, il était clair dans l'esprit d'Elijah que le jeune homme allait accepter. "Tu veux que je joue la taupe au milieu de personnes qui rêvent de me tuer comme ils ont fait avec mon père si je crois à ton histoire ? Tu es fou ?" Le jeune homme ne paraissait pas bien enchanté par cette idée. Peut être que sa vie n'était pas exceptionnelle, et plus tard, personne ne tournerait un film sur lui, et pourtant, il y tenait tout de même. "C'est cela. Personne ne connait ton lien de sang avec l'ordre, d'ailleurs, personne ne connait l'existence de l'enfant de John Carpenter, à part nous deux. Voilà pourquoi tu es la seule personne qui peut le faire, le seul en qui j'ai confiance. La discussion ne s'arrêta bien sûr pas la, puisque William restait toujours sceptique. Et pourtant, il finit par accepter...

Chapter six : Back to where it all began
Peu de temps après leurs discussion, William se trouvait dans l'avion vers l'Angleterre. Sa direction ? Glastonbury bien sûr. Et autant dire que le choc fut assez rude de se retrouver dans une ville aussi "campagnarde" après avoir vécu plusieurs années dans la grande pomme... Pendant les premiers mois, il n'y avait rien de spécial. Il tentait tout simplement de se fondre à la masse, trouvant un travail, avant de commencer doucement à se plonger dans le monde des Conspiracy. Comme la plupart des nouveaux recrus, il fut obligé de passer par Jeremiah, et autant dire que dans un premier temps, il stressait, pensant que sa carrière d'espion serait finie avant même de débuter. Mais ses craintes furent vaines...

Quelques semaines plus tard.
"Je quitte. Ils viennent de tuer un homme devant mes yeux. Torturé à mort. Je ne vais pas regarder ca plus longtemps. Tu vas devoir trouver quelqu'un d'autre" La voix du jeune homme ne laissait aucun doute sur le fait qu'il était à la limite de faire une crise d'hystérie. Il avait beau avoir de bons nerfs, et avait même réussi à ne pas montrer son désaccord devant les meurtrier, ses prorpres compagnons, tout bonnemment pour ne pas finir comme cet homme. Mais maintenant qu'il était seul, plus rien ne le retenait. D'une main, il tenait son portable, de l'autre, il attrapait des affaires qu'il jetait pelle-mêle dans sa valise. Il n'avait qu'une envie : partir d'ici au plus vite, ne plus jamais être mêlé à cette histoire, et si possible oublier tout ce qui s'était passé, bien qu'il savait déjà que cela n'allait pas être possible. "Calme toi. Ce n'est plus bien longtemps. Tiens bon encore quelques mois, et si notre plan fonctionne, tu pourras partir aussi loin que tu le souhaites après. Mais si tu pars maintenant, sache que tu n'arriveras pas jusqu'au prochain aéroport avant qu'ils ne te rattrappent et te fasse subir le même sort" La voix d'Elijah qui avait été calme au début prit un ton menaçant vers la fin. Finalement, il réussit à calmer le jeune homme, le persuadant de continuer sa mission jusqu'au bout.
Cela était il y a maintenant plus de 5 ans. Depuis, l'eau a coulé sous le pont, et malgré le temps qui passe, William a toujours son rôle d'espion, tentant toujours de remplir la mission qu'Elijah lui avait accordé à l'époque et qui se révèle être bien plus compliquée qu'il ne l'avait pensé au début. Car comment reveler l'identité d'une personne qui n'existait peut être même pas ? Malgré tout, William n'a toujours pas abandonné, au contraire, il joue le jeu puisque c'est bien la seule manière pour lui de survivre cet histoire dont il s'était lui-même embarqué. Et avec le temps, cela lui parait de plus en plus facile d'accomplir les différentes missions qui lui sont accordées, un peu trop facile d'ailleurs à son goût. L'homme qui avait besoin de prendre des calmants et des ß-bloquants pour ne pas se trahir par sa nervosité semble désormais appartenir au passé, et le rôle qu'il joue lui colle désormais un peu trop à la peau...


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