Je m’appelle MIIIIA et n'essaye pas de m’appeler Emilia et encore moins Margareth, sinon je te tue , il m’arrive que l’on me surnomme >.< heu mon père me surnomme lili la tigresse . Voilà 28 années que j’ai vu le jour à Glastonbury. Sur cette terre, je ne suis qu’une fourmi qui tente désespérément de se faire une place. Aujourd’hui, ma vie ressemble à celle de tous les individus de cette planète, je travaille//j’étudie chanteuse.. enfin chanteuse de bar >.< , mais ma vie ne s’arrête pas là. Comme vous tous, une partie de ma vie est un mystère je fais partie des Equestriae (Ecuyer) et j'ai... une fille.... Alors dégage de mes plates bandes. Afin de ne pas être reconnu j’ai pris l’apparence de Hayley Williams. Nos routes risquent de rapidement se croiser… à bientôt.

• Que pensez-vous de votre quête concernant le Graal ?
??? Je vois pas en quoi ça te regarde, comme si je te demandais ce que tu pensais de ta quête tu grand amour. Hé hooo, j’ai pas envie de répondre à ta question. T’en a pas une autre ? ...
Tu es têtu * regarde sa montre-soupire* tu sais que les tigres peuvent sentir battre ta carotide et que c’est pour ça qu’ils te tuent si vite ? Ah non tu ne savais pas, bhé je te l’apprends alors. *fait une bulle avec son chewing gum* Bon… tu peux pas me lacher…Bon non .
Alors écoute bien. Je pense que c’est une quête qui vaut la peine que l’on se batte pour elle. Je ne sais pas vraiment si on réussira un jour à crée Albion. D’ailleurs j’en doute, mais ce que j’aime avant même la quête du Graal, c’est la volonté des chevaliers à protéger le peuple, à tente d’arranger les choses. D’une certaine façon on est un peu comme des anges gardiens… et c’est ça qui me plait.


• Si vous deviez vous identifiez à un chevalier, lequel serait-il ?
Heu, tu parles de ces mecs en armures qui se battaient avec des épées et qui se lavaient une fois tout les 15jours ? heu à personne, beurk… faut pas rêver non plus. Je n’ai rien a voir avec ses espèces de sauvage. D’ailleurs je n’ai tout bonnement rien à voir avec eux, enfin ça vous le verrait par rapport à mon histoire, oui, un peu plus bas. Mais par plaisir, je vais dire tristan, en partie à cause de son histoire avec Yseult. Il n’y a pas vraiment de raison, je ne me compare pas à lui, mais c’est son histoire que j’ai préféré. Dommage qu’ils meurent tous les deux à la fin…

• Comment vous définiriez-vous ?

*gros yeux* Franchement je vois pas du tout pourquoi le grand chef a eu l’idée de ce petit questionnaire. Qu’est qui lui prend, il veut nous faire faire comme au collège quand on remplit notre petite fiche personnelle pour la rentrer. Bon alors, je vais faire court, je ne suis pas du genre à m’étaler sur ma vie encore moins sur ma façon de vivre. Donc on me considère comme étant quelqu’un d’énergique, pas de doute la dessus vu que je ne supporte pas l’inactivité. J’ai besoin de mouvement. Comme beaucoup de chevaliers, j’ai tendance à avoir les idées assez arrêtées sur les choses, bien que je reste quelqu’un d’extrêmement ouverte, cependant je n’accorde que rarement ma confiance et j’évite d’avoir des liens trop fort, pour ne pas voir les gens que j’aime disparaitre. Je déteste abandonnée, ce qui est un atout, mais aussi un inconvénient, vu que je me retrouve dans des situations bien souvent compliquée qui peuvent me couter ma vie. Je reste quelqu’un d’assez directe, de franche, je ne tourne pas plusieurs fois ma langue dans ma bouche avant de parler, ça me ferait du bien d’ailleurs. Je suis assez enfantine dans le fond, il m’arrive de passer mes soirées à regarder les dessins animés avec ma fille et j’adore ça. Parlons de ma fille d’ailleurs. Je ne l’ai pas vraiment choisi, elle est arrivée comme ça, mais c’est surement la plus belle chose que j’ai faite dans ma vie. Je ne me considère pas comme une bonne mère, mais je fais de mon mieux pour qu’elle soit heureuse.

Si j’avais pu choisir, j’aurais surement décidé de rester bien au chaud dans le ventre de ma mère, mais celle-ci en avait décidé autrement. La lumière était aveuglante, hurler, voilà qui prouvait toute ma surprise à la vue de ma nouvelle vie. On m’a déposé dans ses bras, nos regards se sont croisés et j’ai su à ce moment même que je n’aimerais jamais quelqu’un comme je l’aimerais elle. Elle était si belle avec ses boucles rousses, ses yeux verts et son sourire. Puis ce fut à son tour, il était le protecteur, le père, l’homme qui se sentait trop fort pour tenir dans ses bras une enfant si fragile, mais lui aussi je l’aimais déjà.
«Emilia Margareth Brennam » Je laissais échapper un soupire et lâcher le tee shirt de mon camarade de classe que j’avais malencontreusement glissé sur sa tête. Le petit garçon tomba par terre et enleva rapidement les tissus blancs qui lui recouvraient la tête tandis que je le regardais avec un air de défis. Qu’il essaye une fois de plus de me voler ma pelle… C’était ma pelle, elle était rose avec des pois verts. Oui je vous l’avouais, elle était finalement très moche, mais c’était ma pelle, et je ne la prêtais à personne. J’ai toujours détesté mon prénom. Qui peut vouloir appeler sa fille Emilia Margareth Brennam ? A 3 ans, j’ai tenu tête à ma mère pendant toute une journée pour qu’elle m’appelle Mia et non Emilia. Mais à chaque fois que je dépassais les bornes, elle me rappelait toujours à l’ordre en m’appelant par mon prénom. C’était une forme de punitions, celle qui marchait le mieux d’ailleurs.
Aussi loin que je me rappelle, mes parents ont toujours été là pour moi, et cela même malgré leur absences. Je suis née à Glastonbury, peu après ma naissance mes parents ont déménagé aux Etats Unis dans une ville de Floride. Il faisait partit des equestriae, et la plupart de leur mission résidait dans les pays étrangers. Plus tard, J’ai ai appris que mes parents n’étaient pas liés à l’organisation par le sang. Non, ils faisaient en fait partie des recrutés. Ils avaient finis par tomber amoureux et Je suis arrivée tout simplement.
Il pleuvait ce jour-là, j’avais 5 ans et je tenais fermement la main de mon père, tandis qu’On descendait le cercueil de ma mère sous terre. Je me souviens qu’à cette époque j’en ai voulu à la terre entière. Dire qu’elle se battait pour le bien et qu’une longue maladie venait d’avoir raison d’elle. Ce n’était pas juste… non pas juste du tout. Avec Papa, on s’est regardé, il a sécher mes larmes et on est parti en Asie pour quelques temps. J’ai donc passé 4 ans de ma vie en Corée, mais je n’ai pas vraiment de souvenirs de cette période.
Nous sommes ensuite retournés à Glastonbury et j’ai intégré l’école. Mes meilleures années, qu’est que j’ai pu m’amuser. C’était juste génial. Je me souviens d’une fois ou on a été envoyé en forêt pour un stage de survie. Avec ma meilleure amie de l’époque on a passé notre temps à manger des chamallows grillés. Bon d’accord quand notre proviseur de l’époque nous a trouvé, vautré dans l’herbe à déguster ces sucreries, ils nous a tout simplement appris à vivre, vu qu’on est devenu les proies… on a fini prise danse des filets et trainer par terre par les autres... mais au moins c’était drôle. J’ai adoré mes premières années d’entrainement, mais mon père a été envoyé de nouveaux aux Etats Unis. Je l’ai donc suivi mon père et c’est lui qui a continué mon entrainement. Ce n’était pas plus mal, c’était intensif surement excessif mais ça a porté ses fruits. Personnellement, j’aurais préféré resté à l’école mais je n’avais pas le cœur a laissé mon père seul. C’est pour cette raison que j’ai débarqué à New York. J’ai tout de suite détesté cette ville, bien trop citadine pour moi.

A vrai dire, j’avais pensé que ça ne pouvait rien ne m’apporter de bon, que j’allais passé les pires années de ma vie, jusqu’à ce qu’il me percute. Enfin, il a toujours dit que c’était moi qui l’avait percuté, mais non c’était lui… Incapable de reconnaitre ses torts comme toujours. William était plus âgé de moi de quelques années. Notre première rencontre fut électrique, j’ai failli lui cracher au visage, mais j’ai fini par lui écraser le pied avec ma basket. « Oué c’est ça, pousse toi » Au moins sur ce coup là, j’acceptais le fait de lui avoir écrasé le pied. D’ailleurs, j’étais sûr de ne jamais le revoir. Alors quand je l’ai vu apparaitre devant moi dans mon petit bar ou je tentais d’avoir des informations tout en chantant, je suis resté septique. Nan mais qu’est qu’il foutait là… En fait, j’avais par malchance fait tomber le papier sur lequel j’avais marqué mes heures de services pour ne pas oublier. C’est comme ça qu’il a réussi à me trouver. Aucune envie de lui parler bien sur, mais il semblait avoir de quoi rivaliser avec moi, il était buté, peut être bien plus que moi. Alors au bout d’une dizaine de visite qui devenait à être extrêmement gênante, j’ai fini à accepter un verre. Et finalement, je me suis prise au jeu. Au début, c’était un ami, il me faisait rire, j’oubliais un peu tout ce qui se passait autour de nous et puis je suis tombée amoureuse. Je m’étais pourtant promis de ne jamais aimer…pour ne pas être détruite comme mon père l’avait été par la mort de ma mère et puis je connaissais les règles de l’ordre et autant dire qu’elles étaient assez claires.

Pourtant, je me suis retrouvé incapable de mettre un terme à la relation, je vivais une histoire d’amour, la seule et unique, celle qui vous fait vibrer le cœur et qui vous prend tout entier. A cette époque là, je ne pensais pas au futur. Jusqu’à ce qu’un bon jour, je me lève avec des vomissements, par la suite ce fut des douleurs dans la poitrine. Verdict : Enceinte. J’étais jeune :20 ans. Mon père fut le premier à l’apprendre. Il m’expliqua tous les risques que je prenais, alors comme je ne voulais pas le voir souffrir, comme je ne voulais pas lui arracher cet enfant et que je n’avais pas le courage de lui dire au revoir en face. J’ai fait mes valises et je suis revenu à Glastonbury.

Quelques mois plus tard, j’ai donné naissance à une adorable petite fille que j’ai baptisé Luna. J’ai repris les études à l’école, histoire de me familiarisé avec le groupe et puis de reprendre un peu là ou je m’étais arrêtée. 2 ans après la naissance de ma fille, je me suis sentie excessivement seule, je suis donc repartit aux états Unis, au Texas, ou mon père m’attendait. On y a passa 5 ans avec Luna. En vue des nouveaux événements à Glastonbury, j’ai été rappelé pour grossir les rangs et trouver la réponse à la question : que cachait le prêtre ? Me voilà donc de retour à la maison, après bien des péripéties.